more from
FLIP the Industry
We’ve updated our Terms of Use to reflect our new entity name and address. You can review the changes here.
We’ve updated our Terms of Use. You can review the changes here.

Des Histoires​.​.​.

by Cyriel

/
  • Streaming + Download

    Includes unlimited streaming via the free Bandcamp app, plus high-quality download in MP3, FLAC and more.
    Purchasable with gift card

      $7 CAD  or more

     

1.
Au coin du feu, grand-mère raconte des histoires. Celle-ci parle d’un coffre en bois, et de mémoires. Sculpté avec amour, par les générations d’antan ; Un trésor inestimable, transmit entre parents. Il parcourt le monde, le coffre en bois. C’est le long voyage du coffre en bois. Dans le village, il se mit à pleuvoir des bombes. Le coffre fût tout ce qu’on retrouva sous les décombres. C’est là, le commencement de sa folle épopée À travers sa terre, pillée et dévastée. Il parcourt le monde, le coffre en bois. C’est le long voyage du coffre en bois. (x2) Aux barrages gardés, il y eu de l’argent échangé. Sur la terre et les flots, longue fût sa traversée. Des grandes montagnes blanches, aux océans étincelants, Sur roues ou par bateau, le voyage fût harassant. Il parcourt le monde, le coffre en bois. C’est le long voyage du coffre en bois. (x2) Sa course terminée, il trouva enfin la paix. Des larmes se mettent à couler, grand-mère se tait. De tout le voyage, elle ne vît rien des beautés. Car tout au fond du coffre, elle se trouvait cachée. Il parcourt le monde, le coffre en bois. C’est le long voyage du coffre en bois. (x2)
2.
Suivant l’aiguille de ma boussole, je parts pour un long voyage. Je souffle sur ma voile et m’éloigne du rivage. Sans carte pour cette grande aventure, que j’en revienne, rien ne l’augure. Mon équipage compte un millier d’homme, au bout du compte, y’aura plus personne. Emportée par les flots, bercée par les vagues ; Ma raison prend le large, je suis libérée des maux. (x2) Je barre fermement ma cuillère où la tempête se prépare. La flamme dansante de la bougie dans la nuit devient mon phare. Le citron rappelle le goût salé de la mer sur mes lèvres. La poudre a fait des kilomètres, elle m’emportera loin de la terre. Emportée par les flots, bercée par les vagues ; Ma raison prend le large, je suis libérée des maux. (x2) Mon navire plonge sa proue au cœur de cette tempête. En pirate avide, j’aspire à la conquête. Pas de drisse ni de bouts, seulement la corde du pendu, Enroulée autour de mon bras, traçant des récifs exigus. Et j’y plante mon bateau, une vague me submerge ; Je dérive dans les flots, m’emportant loin de la berge. (x2) Le camphre puissant me prend à la gorge et je vomis ma bile. Une houle violente s’empare de mon corps et le rend fébrile. Mais lorsque sont passées les vagues fracassantes contre les rochers, Je me laisse bercer dans la plénitude des eaux apaisées. Ma tête est remplie d’étoiles, je disparais dans les vagues ; Minuscule grain de sable, mon âme qui s’évade. (x2) Bien loin du tour du monde, c’est ma descente aux Enfers. A présent esclave ramant dans ma propre galère. Succombant aux chants des sirènes, je suis montée sur la planche. Je sombrerai dans le néant recouverte d’une écume blanche. Ma tête est remplie d’étoiles, je disparais dans les vagues ; Minuscule grain de sable, mon âme qui s’évade. (x2) Mon âme qui s’évade, mon âme qui s’évade, mon âme qui s’évade…
3.
Mais c’est pas ma faute à moi, toutes mes dents cassées. Moi j’préfère quand ma lèvre n’est pas enflée. J’y suis pour rien pour mon épaule disloquée, Et encore moins si j’ai les 2 genoux explosés. Accuses-moi d’avoir mis le feu au matelas. Et même, si tu veux, d’avoir cuisiné le chat. Je suis coupable pour la maison effondrée, Et puis, d’avoir tué la voisine de palier. Mais c’est pas ma faute, si chaque jour tu me files des coups. Si mon seul collier c’est des marques autour de mon cou. J’y suis pour rien si t’essayes de m’étrangler, Et si un jour tu réussiras à me tuer. C’est pas ma faute quand tu te mets à me frapper, Ni si un jour tu finiras par me tuer.
4.
It was down in Old Joe's bar-room, on the corner by the square, the usual crowd was assembled and big Joe Mckenny was there. He was standing at my shoulder, his eyes were bloodshot red, he turned to the crowd around him and these are the very words he said... I was down in St. James Infirmary To see my baby there, she was layed out on a cold white table, so cold, so white, so fair. Let her go, let her go, god bless her wherever she may be, she may search this wide world over, she'll never find a sweet man like me, no she’ll never find an other man like me When I die, bury me, in a high top Stetson hat, put a 20 dollar goldpiece on my watch chain, so god know I died standing pat. I want 6 crapshooters for pallbearers, chorus gonna sing me a song, put a jazz band on my hearse wagon, raise hell, as I roll along. Let her go, let her go, god bless her wherever she may be, she may search this wide world over, but she'll never find a sweet man like me she’ll never find an other man like me. Roll out your rubber tired carriage roll out your old time hack, 12 men going to the graveyard and, 11 coming back Let her go, let her go, god bless her wherever she may be, she may search this wide world over, she’ll never find an other man like me, she'll never find a sweet man like me. Now that I've told my story, I'll take another shot of booze, and if anyone should happen to ask me, I got those gamblers’ blues.(x3) Let her go, let her go, god bless her wherever she may be, she may search this wide world over, but she'll never find a sweet man like him no she’ll never find an other man like him.
5.
There is a house in New Orleans They call the Risin' Sun And it's been the ruin of many a poor girls. And God, I know I'm one. My mother was a tailor. She sewed my new blue jeans. My father was a gamblin' man Down in New Orleans. Now, the only thing a gambler needs Is a suitcase and a trunk The only time that he's satisfied Is when he's on a drunk Oh, Mother, tell your children Not to do what I have done. And spend your life in sin and misery In the house of the risin' sun. Well, I've got one foot on the platform. the other foot on the train. I'm goin' back to New Orleans To wear that ball and chain. There is a house in New Orleans They call the Risin' Sun And it's been the ruin of many a poor girls. And God, I know I'm one. (x3)

credits

released September 19, 2018

license

all rights reserved

tags

about

Cyriel Montreal, Québec

contact / help

Contact Cyriel

Streaming and
Download help

Redeem code

Report this album or account

If you like Cyriel, you may also like: